Notre histoire

1932

Le premier brevet d’un caillebotis technique en maille losange est déposé. Véritable innovation technique, il permet de s’affranchir des anciens planchers pleins, en bois ou tôlés, lourds et opaques, au profit de grilles en acier antidérapantes. En 1935, la marque Diamond est déposée et la société installe ses ateliers à Paris, dans le 15e arrondissement.

1960 – 1970

Le Caillebotis Diamond, devenue une société anonyme en 1959, transfère ses ateliers dans une petite commune de l’Yonne tout en conservant une représentation commerciale à Paris. Diamond est le fournisseur exclusif de la R.A.T.P. Elle s’implante chez les plus grandes entreprises du secteur industriel et devient le fournisseur exclusif de la R.A.T.P pour la pose des trémies de ventilation du métro parisien.

1972

Confrontée à d’importantes difficultés financières liées principalement à une absence de développement commercial, la petite entreprise icaunaise de huit ouvriers est à vendre.

Serge Joigneaux, alors directeur d’exploitation d’une entreprise industrielle s’en porte acquéreur et transfère les activités de l’entreprise à Lisieux en Normandie, une région qu’il sait parfaitement adaptée à un développement futur.

1975 – 1995

Industriel de trop petite taille, le chef d’entreprise doit faire face à la concurrence agressive de grandes entreprises européennes. Pour lui, le partenariat commercial avec un de ces grands acteurs devient une obligation pour assurer la pérennité de sa société en France. En 1976, il se rapproche du groupe familial lichgitter, un leader technologique en Allemagne, qui deviendra actionnaire du caillebotis Diamond quelques années plus tard. Le chiffre d’affaires passe de 150 K€ en 1970 à 17 M€ en 1995 et le personnel de 12 à 85 salariés.

1995 – 2003

N°1 français sur le marché du caillebotis métallique, la société lexovienne est un interlocuteur majeur des plus grandes entreprises de maîtrise d’ouvrage, en France et dans le monde. Après avoir participé à la réalisation de grands projets en France, notamment à l’aéroport de Roissy, c’est elle qui fabriquera les kilomètres de passerelles du futur aéroport de Hong-Kong. En 2003, arrivé à l’âge de la retraite, Serge Joigneaux cède ses parts au groupe lichgitter, son partenaire industriel de toujours, avec la confirmation que l’aventure continuera bien sur le sol français.

2003 – 2020

Le caillebotis Diamond affirme sa position de leader sur son marché. L’acquisition de machines à la pointe des technologies les plus récentes permet au premier fabricant de caillebotis pressé de continuer à accroître ses performances en matière d’innovation, de qualité et de service. Sa croissance maîtrisée en France, il se développe à l’international, en Europe et en Afrique du Nord.

2021

Le Caillebotis Diamond prend un tournant technologique historique en déménageant ses activités au sein d’une nouvelle usine dernière génération, à Glos près de Lisieux. À travers cet investissement, Le Caillebotis Diamond, seul fabricant de caillebotis métallique en France, confirme son attachement à ses racines françaises, témoigne de sa fierté de perpétuer un savoir-faire industriel de plus de 85 ans, affirme plus que jamais son engagement à toujours œuvrer pour livrer une expertise sans faille, parfaitement adaptée, à la hauteur de tous les défis techniques.